Transport par la route

L’état général du réseau routier est médiocre. Les voies sont souvent assez dégradées (de surprenants nids de poules sur les autoroutes) et très encombrées ; encombrement toujours, éclairage lacunaire : évitez de conduire la nuit. La signalisation routière est très déficiente (carte indispensable). On sera attentif à faire le plein lorsqu’une pompe se présente : elles sont peu nombreuses en province. Limitations : 50 km/h en ville ; 90 km/h sur route ; 100 à 120 km/h sur autoroute. Taux d’alcoolémie autorisé : 0.

Transport en Taxi ou Loueur

Attention ! officiellement, les étrangers n’ont pas le droit d’utiliser des taxis « privés », ni de se faire transporter dans des voitures particulières (ce qui condamne l’autostop). On aura donc recours aux taxis des compagnies d’Etat (Cubataxi, Panataxi, Taxi OK). Pour louer une voiture, on fera bien de ne pas attendre d’être sur place : même si la réservation à l’avance ne garantit pas qu’un véhicule vous soit effectivement attribué en temps et heure, elle augmente vos chances d’en obtenir un. Lors de la remise de la voiture, en faire une vérification aussi complète que possible et signaler toute anomalie. Les assurances ne couvrent pas les dommages sur les pneus, ni le vol des autoradios.

Transport en train

Le réseau ferré relie La Havane aux villes importantes. Les trains sont décatis, lents, bondés, irréguliers : il faut avoir du temps et le goût du pittoresque, mais, si l’on parle espagnol, le trajet peut être l’occasion de rencontres sympathiques. Le bus est donc un bon moyen de circuler dans le pays. Les deux compagnies principales sont Astro (bus chinois, qu’utilisent les Cubains) et Viazul (qu’utilisent plutôt les étrangers).

Transport en avion

Attention ! vols internationaux au départ de La Havane : taxe d'aéroport, 23 euros environ.

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