Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Vols pour Queenstown. Nuits à bord, arrivée le surlendemain.
Transfert. Pour récupérer du vol, installation pour deux nuits dans la campagne, à l’est de Queenstown. Votre cottage vous plonge d’emblée en plein esprit néo-zélandais : naturel, confortable, accueillant. La chambre, rustique mais stylée, est nette, bien équipée. Le restaurant et le wine garden permettent une prise de contact prometteuse avec les façons antipodiques de se restaurer - ingrédients du coin, à commencer par le potager et le verger du domaine - et de se désaltérer - cave alimentée par cinq bons viticulteurs de Central Otago. Dehors, selon l’heure et les dispositions, bain nordique et pétanque. Barbecue également, sans lequel la sociabilité South Pacific se conçoit mal.
Queenstown est la capitale néo-zélandaise des activités outdoor, été comme hiver - les quatre stations du secteur attirent des skieurs du monde entier. Un tour sur le lac Wakatipu, à bord du TSS Earnslaw, vapeur de 1912, fait un délicieux moment de nostalgie voyageuse.
Déjà prévu au programme - Bain with a view, en privé. L’établissement est établi au flanc d’une falaise au-dessus du canyon de la Shotover River. Les bassins, aménagés à la manière japonaise, sont emplis d’une eau limpide dont on peut soi-même contrôler la température. Vous jouissez dans votre cabine d’une intimité complète et d’une vue splendide sur la rivière. Le toit ouvrant permet d’ajuster l’atmosphère du bain aux conditions météo.
Prise en compte de la voiture de location et route pour le lac Te Anau. Installation pour deux nuits à Patience Bay. La maison semble un observatoire au bord de l’eau : profilée sur le coteau, elle ouvre partout des baies du sol au plafond. Autour, jardin fleuri et pelouses impeccables. Extérieur et intérieur modernes. Le particulier est sobre et confortable, conçu pour qu’on y ait ses aises - salle de bain au diapason. De son lit, panorama eau et montagnes. Grand salon à canapés, qui favorise un entre-soi cosy. Le matin, petit déjeuner à la fois roboratif, soigné et sain. La situation de l’hôtel se montre propice aux balades en tous genres.
Te Anau se trouve au bord est du parc national Fiordland. Une route, la principale, relie Te Anau et le Milford Sound (des sorties en bateau, ou en kayak, sont possibles dans ce dernier). Le long de l’itinéraire, courtes randonnées balisées. Sur la rive ouest du lac, s’élèvent les Murchison Mountains, où vit encore un oiseau que l’on a longtemps cru disparu, le Takahé du Sud. Bleu, gros bec rouge et inapte au vol, il se nourrit d’herbe à tussack dans les prairies alpines. Pas question, bien sûr, d’aller le débusquer dans son habitat naturel (où il fait l’objet d’une protection active), mais quatre individus sont les vedettes du Te Anau Bird Sanctuary. On peut donc l’admirer là, comme aussi le Nestor superbe ou le Tadorne de paradis.
Route pour Dunedin. Nuit au bord de l’océan. La situation de l’hôtel a incité ses concepteurs à l’ouvrir le plus possible sur l’extérieur. Devant, deux escaliers descendent jusqu’à la plage. L’aménagement intérieur est classiquement moderne et confortable. Parmi les curiosités de la ville, on compte la gare, construite, entre 1903 et 1906 par l’architecte George Troup, dans un style Renaissance flamande spectaculaire. Et il faut évoquer aussi la colonie de manchots des antipodes de la péninsule d’Otago, et les albatros royaux de Taiaroe Head, tout au bout de celle-ci.
Route pour le lac Tekapo, dans le bassin de Mackenzie. Installation pour deux nuits à la pointe sud du lac, dans un cottage moderne, aux chambres coquettes - imprimés fleuris, courtepointes, coin living - et bien équipées ; salle de bain très convenable. Le petit déjeuner est servi sur place, à la table commune de la salle à manger. Du pas de la porte, scintillement de l’eau et des massifs enneigés. Un peu au nord du bourg, le Mount John University Observatory suggère à qui l’ignorerait que la région bénéficie d’un ciel particulièrement limpide.
Faiblement peuplé, le Mackenzie Basin a donc cette particularité : un ciel libre des pollutions ordinaires. La région fait partie de l’Aoraki Mackensie International Dark-Sky Reserve. Le soir, il n’est donc pas question de se coucher comme des Poules sultanes, des pukeko. Il serait dommage de n’avoir pas un peu la tête dans les étoiles. Les occasions se raréfiant désormais d’une observation sans voile du ciel nocturne. A l’ouest, les paysages du lac Pukaki, avec le mont Cook en point de mire, ravissent par leur ampleur, leur harmonie et une étonnante palette de couleurs.
En option - Survol d’Aoraki Mount Cook National Park.
Route pour Akaroa. Nuit dans une belle demeure datant de 1857, ce qui compte en Nouvelle-Zélande. Les monuments historiques ont d’ailleurs classé la propriété en catégorie 1. De fait, elle rayonne de charme européen et, à la belle saison, les rosiers embaument dans le jardin. Comme la décoration intérieure ne pouvait en prendre trop à son aise avec le cadre, elle s’y inscrit en parfaite harmonie. Ce qui n’empêche pas les chambres de bénéficier d’un équipement moderne. On prend le petit déjeuner dans de la porcelaine fine, ce qui semble d’ailleurs aller de soi (ainsi aussi le terrain de croquet). Les Anglais ayant toléré la présence française à Akaroa, la ville en a gardé une atmosphère un peu différente, parce qu’au fond elle rappelle quelque chose.
Rendu de la voiture à l’aéroport de Christchurch et vol pour Rotorua. Prise en compte de la voiture de location et route pour Taupo. Installation pour trois nuits à Acacia Bay. Un joli jardin fleuri entoure le cottage. Dedans, chambres et parties communes ont une élégance à l’ancienne très agréable. Les premières offrent de l’espace, des literies avec couverture chauffante et des salles d’eau sans défaut. Les secondes sont accueillantes et marquent une simplicité de bon goût. L’humeur positive et les attentions des propriétaires contribuent au plaisir du séjour. Et ces agréments se trouvent à dix minutes de promenade du bord du lac.
Déjà prévu au programme - Le site géothermique Orakei Korako. Au nord de Taupo, la vallée cachée est un peu à la géochimie ce que le paon est à l’ornithologie : un événement chromatique. Vert jade, moutarde ou citron, noir, rose saumon, bleu roi, la terre et l’eau y touillent vigoureusement les couleurs. Là-dessus, dérivent les paquets de vapeur que chargent chutes d’eau et geysers. Diamond Geyser, le plus célèbre des trente-cinq que compte le site, gicle par intermittence jusqu’à neuf mètres de haut. Les champs géothermiques ne comprennent pour ainsi dire jamais de grottes. Il y en a pourtant une ici, Ruatapu Cave, qui constitue donc une curiosité rare. Le billet donne accès à la partie aménagée du parc - sentiers, escaliers, passerelles, pour une visite en solo.
Déjà prévu au programme - Le parc géothermique Wai-O-Tapu. Lacs aux couleurs acidulées ou curieusement achromatiques, boues plissées ainsi que des crèmes Chantilly, geysers ponctuels comme des coucous suisses, piscines bouillonnantes d’eau thermale, fumerolles, les allées de ce grand parc offrent au visiteur les plus spectaculaires effets de la chimie et de la physique telluriques. Quand Mother Earth se fait psychédélique !
Route pour Auckland. Installation pour deux nuits à Mount Eden Village, un peu au sud de Downtown. A s’y promener, on situe aisément les décennies décisives de développement du quartier : 1870-1920. Votre home date de cette période ; on s’y laisse prendre aux séductions de la Belle Epoque australe. Le jardin est l’extension naturelle de la maison ; ainsi les tissus floraux des chambres et du salon ont-ils leur répondant dans les massifs. Tout exhale ici une respectabilité discrètement hédoniste et parfaitement confortable. La vie tient en partie au sécateur et au feu de cheminée. Dans un tel contexte, le petit déjeuner doit offrir le premier bonheur du jour.
Déjà prévu au programme - Comme un habitant d'Auckland. Une demi-journée au rythme des Aucklanders, en compagnie de l’une d’entre eux. Francophone, qui mieux est. Rien de préconçu, sinon cette idée de faire les choses comme ceux qui vivent ici. Et quelles choses ? Eh bien, on en décide ensemble sur le moment. Une brève discussion, au cours de laquelle s’échangent curiosités, enthousiasmes, attentes, idées, suffit pour dresser un plan d’opération. Après, on se lance. La familiarité que votre poisson-pilote entretient avec les lieux est un atout, comme en est un autre le plaisir qu’il prend à vous faire apprécier le meilleur de sa ville.
Rendu de la voiture à l’aéroport et vol pour Apia, Upolu Island. Transfert. Installation pour quatre nuits sur la côte sud-est. Le domaine est aménagé autour de sa plage privée. Les bâtiments viennent tout au bord de l’eau ; leur architecture, discrète, logique, claire, ne dénature pas le site, elle s’y adapte au contraire avec justesse. Les chambres, à l’avenant, offrent d’excellentes conditions de résidence. Un service à la fois amical et précis contribue à l’atmosphère du séjour : les Samoans savent recevoir. Les deux tables ouvertes à l’appétit des hôtes ont toutes les couleurs et tout l’iode voulus. Des kayaks transparents permettent d’observer non seulement ce qui se passe autour et au-dessus, mais encore au-dessous. Ce qui ne manque pas d’émerveiller. Le snorkeling vous convaincra plus fortement encore de l’intérêt des fonds. Piscine, massages ? Oui, bien entendu.
Les activités nautiques et le farniente sont des évidences. On y consacre avec bonheur l’essentiel de son temps. Pourtant, la végétation dense qui entoure l’hôtel invite à pousser quelques explorations vers l’intérieur, dans la vallée de Falefa, par exemple. Ou du côté de Lotofaga et des Fuipisia Falls, de To Sua, fosse volcanique faisant office de piscine naturelle à grande capacité. Les conditions générales de l’archipel favorisent les oiseaux. Parmi ceux-ci, l’Aigrette sacrée, la Frégate du Pacifique, l’Océanite à ventre noir ou le Fou à pieds rouges se montrent régulièrement. Quant au Diduncule strigirostre, le pigeon national des Samoa, très menacé désormais, vous le verrez… sur les billets de vingt talas. Les fonds marins constituent cependant la grande attraction des Samoa. La richesse des récifs coralliens les met en bonne place dans le répertoire plongée mondial. Quelle que soit son aisance subaquatique, on ne met pas un masque en vain.
Transfert à l’aéroport d’Apia et vol retour, via Auckland. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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