Idée voyage 100% personnalisable
Inde - Ladakh - Delhi
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
À l'arrivée, transfert privé pour votre hôtel de Delhi Aerocity. Située tout à côté de l'aéroport, la zone hôtelière est née à l'occasion des Jeux du Commonwealth. Moderne et sécurisée, elle permet de rejoindre prestement les terminaux – idéal en cas d'arrivée tardive ou de décollage matinal. Quant aux malls alentour, ils tombent à pic pour se ravitailler en ce début de voyage.
Installation pour cette nuit d'étape dans un hôtel contemporain, certes de grande taille, mais avec une vraie vista archi et design. Les volumes, importants, sont traités avec précision et une harmonie inattendue s'en dégage. Le lobby et le patio sont particulièrement agréables à vivre. Dans les chambres, quelque chose de graphique et équilibré, en plus d'un impeccable équipement. L'exigence se retrouve dans les restaurants et bars maison : cuisine internationale, de l'Inde septentrionale, japonaise, cocktails – tout est fait de façon très pro. Le spa ne pouvait faire baisser le niveau, il est donc desservi par des équipes à la hauteur. La piscine extérieure signe elle aussi une réussite tant technique qu'esthétique.
Vol pour Leh, capitale du Ladakh. À l'arrivée, rencontre avec le guide privé francophone qui vous accompagnera tout au long du périple. Vous embarquez à bord d'un transfert privé vers Saspol, dans la vallée de l'Indus, à 60 km au nord-ouest. Pour ce faire, le chauffeur emprunte la seule et unique route en bon état reliant la capitale au village – l'une des plus hautes du monde. Projeté en plein cœur de cette région choyée des empereurs Monghols, on goûte à la quiétude de ces grands espaces tandis que le guide pointe, çà et là, les petits villages agricoles engloutis dans leurs champs verdoyants.
Installation pour deux nuits dans une bâtisse centenaire entourée d'un jardin où poussent arbres fruitiers, noyers ou encore mûriers. Les chambres ont une simplicité de bon aloi. C'est d'ailleurs celle-ci, un minimalisme naturel, qui fait l'essentiel de l'esthétique du lieu. Tout cela est convenablement équipé (bonne literie, salle d'eau particulière). Le petit déjeuner est servi sur place. On peut commander un dîner, à prendre dans son particulier. La fin de journée s'écoule en tout état de cause tranquillement, le temps de s'acclimater à l'altitude. Si (et seulement si) vous vous en sentez l'énergie, vous pouvez visiter les grottes ornées bouddhiques de Gon-Nila-Phuk (XVe siècle). Nichées dans les collines en surplomb du hameau, elles font la fierté du secteur.
Au programme, avec le guide privé - Les origines du monastère Lamayuru, de tradition Kagyüpa Drikung (école de tradition orale, bonnet rouge), remontent au XIe siècle. La sainteté du site en avait fait un lieu de grâce : les plus endurcis malandrins échappaient à la mort pourvu qu’ils y soient parvenus. Les pactes s’y négociaient. Les musulmans du Cachemire en ont toujours respecté l’intégrité. Ce sont les tensions entre hindouistes et bouddhistes qui ont provoqué la mise à sac du monastère par les troupes du roi de Jammu en 1834. Les bâtiments actuels datent du début du XXe siècle ; ils accueillent deux cents moines. On visite ensuite le joli village de Temisgam, dans la vallée du Sham. Le roi Drag-pa-Bum y fit bâtir le palais et monastère de Tingmosgang au XVe siècle pour servir de capitale. C'est son petit-fils Bhagan qui fonda la dynastie Namygyal, puissante lignée qui marqua l'histoire de la région jusqu'à l'annexion par les Dogras. Surtout, c'est ici que fut signé, en 1684, le traité de Tingmosgang entre le Ladakh et le Tibet, mettant fin aux conflits armés avec les Moghols, sous réserve du respect d'accords commerciaux (droit exclusif du Ladakh sur la laine de pashmînâ produite au Tibet, échange de briques de thé, envoi de missions avec cadeaux pour le Dalaï Lama à Lassa....).
Déjà prévu, avec le guide privé - Déployé sur une éminence, le gompa Likir a été fondé au XIe siècle. Il a illustré la vieille tradition Kadampa, dont sont héritières les écoles Gelugpa (actuelle dépositaire) et Kagyüpa. C’est le bodhisattva de compassion Avalokitesvara qui accueille les visiteurs. En classe, la relève monastique s’imprègne des textes sacrés par la lecture collective à haute voix. Au musée, belle collection de tankas anciens. Le monastère d’Alchi, administré par Likir, a lui aussi été fondé au XIe siècle. L’influence cachemirie est nette dans les trois édifices principaux : le Dukhang (grande salle), le Sumsteg (dont la fonction est douteuse) et le temple du bodhisattva Manjushri. Les murs sont ornés de quelques-unes des plus anciennes peintures murales du Ladakh. Les sculpteurs sur bois et sur pierre déroutent et fascinent. Certains chörtens (stupas) datent du XIIIe siècle ; ces édifices à la symbolique complexe sont typiques du bouddhisme.
Bref trajet avec chauffeur privé jusqu'à Nimmu et installation pour deux nuits dans une noble et imposante bâtisse ladakhi. La transformation en maison d’hôtes est exemplaire : les meilleurs experts et artisans y ont participé. La demeure de 1200 m² compte une trentaine de pièces dont deux temples bouddhistes. Elle est cernée de terrasses extérieures et d'un verger de 5 hectares planté d’abricotiers, de pommiers et de noyers. Les repas sont servis soit en extérieur, pleine vue sur les montagnes, soit dans l’ancienne cuisine d’hiver reconvertie en salle à manger traditionnelle. La cuisine est simple et inspirée de spécialités de la région ; les fruits et légumes bio sont issus des potagers du village. Une étable abrite yaks, vaches, dzos...
Au programme - Exploration du village dans les pas d'un habitant. Grande oasis au milieu du désert minéral, Nimmu loge environ 200 familles. Posté à la confluence de l'Indus et de la rivière Zanskar, à 3100 mètres d’altitude, le hameau bénéficie d’une exposition au soleil optimale. Cela lui assure de prospères cultures de blé, d'orge, de fruits et de légumes. Tout cela et bien plus vous est expliqué par un (fier) membre de la communauté locale. Les histoires et récits qui le lient au hameau ne manquent pas. Pour parfaire la visite, une dégustation de thé au beurre, ce breuvage typique de la culture tibétaine, est prévue.
En option - Confection de momos (ravioles tibétaines) ; atelier de cuillères traditionnelles.
Transfert privé vers Stok.
Au programme - Arrêt en chemin à Spituk, site monastique depuis le XIe siècle et établissement Gelugpa (bonnet jaune, la plus récente des quatre lignées du bouddhisme tibétain) depuis le XVe. Ce gompa (monastère bouddhique fortifié) dissimule une importante statue de Palden Lhamo, déesse tutélaire du Tibet. C’est un dharmapâla, figure de fureur, protectrice du bouddhisme et des bouddhistes. Nouveau panorama gris pâle et vert de la vallée de l’Indus. Puis descente à pied vers le village, en empruntant les chemins d’exploitation. On retourne déjeuner au bord du fleuve, dont on est désormais familier. Les échanges sous les arbres avec le guide sont l’occasion de parfaire son éducation himalayenne. Continuation pour Stok et visite de la partie muséale du palais. Les collections documentent un art de vivre disparu, dont la sophistication et la singularité étonnent.
Installation pour deux nuits au sud-est du Stok Palace Heritage. Trois villas s'épanouissent dans un jardin planté d'abricotiers, de noyers et de saules. Elles ont été construites selon les règles de l'architecture traditionnelle durable. À l'intérieur, le bois domine et donne une note chaleureuse. Les pièces sont grandes, bien équipées, confortables ; qu'il s'agisse des chambres, du living ou de la cuisine. Dans le jardin, on dispose de tout l'espace voulu et de hamacs pour s'adonner à la contemplation de la montagne ou du ciel nocturne. On jouit ici, en plein Ladakh, d'une autonomie inattendue.
En option - Les secrets du pashmînâ, en privé.
Au programme - Avec le chauffeur et le guide, départ de bon matin pour le monastère de Thiksey qui pourra (à bon droit) faire penser au Potala de Lhassa. Ce gompa Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune) est le plus vaste du Ladakh ; il abrite des moines, mais aussi la version féminine : des moniales. On y assiste à l’office du matin. Thiksey est renommé pour ses peintures murales et ses tankas (peintures sur toile). La position autorise en outre un panorama exceptionnel sur la vallée de l’Indus. L’heure est alors venue d’un petit déjeuner champêtre. Autour du thé, on partage ses impressions avec le guide. Puis l'on remonte en voiture pour se rendre au monastère de Hemis, édifié au XVIIe siècle. C’est le gompa principal de l’école Kagyüpa Drukpa (école de tradition orale, bonnet rouge) au Ladakh. Les bâtiments qui forment la cour intérieure portent de splendides galeries et huisseries de bois peint. On relève au passage les peintures représentant les mahâsiddhas, ascètes bouddhistes non conventionnels. En plus de tankas superbes, le musée du monastère éclaire sur les principes et symboles du bouddhisme tantrique. Suit un pique-nique au bord de l’Indus. Rappelons que le fleuve coule du mont Kailash à la mer d’Oman et donne son nom à l’Inde. Le monastère de Stakna (XVIe siècle), que l’on voit dans l’après-midi, est admirable, serré au sommet de sa butte rocheuse. Ce nid d’aigle Drukpa recevait la famille royale dans des appartements tout à fait à la hauteur. Il cache encore l’une des plus riches bibliothèques du Ladakh.
Après avoir séjourné dans la vallée, enveloppée par la chaîne du Zanskar, l'heure est venue de se frotter au relief en gagnant Leh. Transfert privé d'une petite demi-heure et installation pour la nuit dans une adresse moderne du centre-ville. Les dimensions impressionnantes de l'édifice sont adoucies par les extérieurs en briques de terre compressées – on croirait presque à une montagne prête à se fondre dans le panorama alentour. Les volumes s'organisent autour d'un atrium vertigineux arrosé d'un puits de lumière. Déployées autour de ces espaces, les chambres présentent un ameublement minimaliste et des nuances terreuses. On se félicite de l'existence d'un restaurant sur place complété par un café intérieur/extérieur. Quant au personnel, il est aux petits soins.
Au programme - Leh en privé. Capitale du Ladakh perchée à 3500 mètres d'altitude, Leh fut autrefois une étape importante sur la route de la soie. Après une dégustation de mets locaux, direction le marché de la ville pour retracer, au travers de nombreuses photographies, l'histoire de la cité. Puis, visite du gompa Soma, siège de l'Association bouddhiste locale. Là, Bouddha couronné et Padmasambhava attendent de vous recevoir. On ne s'arrache à leur contemplation que pour mieux repartir sillonner les ruelles historiques, finissant inévitablement au marché.
Également prévue - Rencontre avec une restauratrice d'art. Calé dans l'ombre de la mosquée, c'est dans ce véritable temple de la restauration d'art que vous avez rendez-vous avec une spécialiste en la matière. Manuscrits religieux, fresques anciennes ou tangkas (peintures sur toile caractéristiques de la culture bouddhiste tibétaine) : votre interlocutrice, une locale, jongle entre les supports et les missions, rendant la visite plus intéressante encore.
Transfert à l’aéroport de Leh et vol pour Delhi. Construit en 1931, le bâtiment dans lequel vous posez vos malles pour la nuit est une légende – du Raj britannique et de l’hôtellerie. Le luxe déployé dans les salons, les immenses corridors, les salles à manger ou les suites est étourdissant. L’Angleterre a reçu là les têtes couronnées ; y a négocié l’indépendance du Pakistan ; en a mis plein la vue aux voyageurs du monde entier. Et l’Inde moderne a hérité de cette grande machine à éblouir, qu’elle a méticuleusement maintenue en ordre de marche. Les collections d’art colonial de l’hôtel – les plus importantes du pays – s'offrent aux hôtes avec aplomb. Le restaurant principal, enfin, est un enchantement – par sa décoration et par une cuisine d’Asie à nulle autre pareille.
Au programme - Majnu-Ka-Tilla, le quartier tibétain de Delhi, en privé. Au nord-est de la capitale, quelques milliers de réfugiés tibétains ont élu domicile dans cette zone qui se distingue par le calme de ses petites ruelles, à l’écart du tumulte de la ville. Les drapeaux de prière colorés flottent au-dessus des maisons. Après la visite d’un temple et d’un monastère, on peut flâner au marché, entre marchands ambulants de momos et étals de textiles en poils de yaks. Une belle occasion de se procurer les derniers souvenirs à ramener à la maison.
Transfert privé vers l’aéroport et vol international retour.
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