Idée voyage 100% personnalisable
Inde - Ladakah - Changtang - Vallée de la Nubra - Leh
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
À l'arrivée, transfert privé pour votre hôtel de Delhi Aerocity. Située tout à côté de l'aéroport, la zone hôtelière est née à l'occasion des Jeux du Commonwealth. Moderne et sécurisée, elle permet de rejoindre prestement les terminaux – idéal en cas d'arrivée tardive ou de décollage matinal.
Installation pour cette nuit d'étape dans un hôtel contemporain, certes de grande taille, mais avec une vraie vista archi et design. Les volumes, importants, sont traités avec précision et une harmonie inattendue s'en dégage. Le lobby et le patio sont particulièrement agréables à vivre. Dans les chambres, quelque chose de graphique et équilibré, en plus d'un impeccable équipement. L'exigence se retrouve dans les restaurants et bars maison : cuisine internationale, de l'Inde septentrionale, japonaise, cocktails – tout est fait de façon très pro. Le spa ne pouvait faire baisser le niveau, il est donc desservi par des équipes à la hauteur. La piscine extérieure signe elle aussi une réussite tant technique qu'esthétique.
Vol pour Leh, capitale du Ladakh. À l'arrivée, transfert privé vers Nimmu, dans la vallée de l'Indus, via la Ladakh Road. Projeté en plein cœur de cette région choyée des empereurs Monghols, on goûte à la quiétude des grands espaces tandis que le chauffeur pointe, çà et là, les petits villages agricoles engloutis dans leurs champs verdoyants.
Installation pour deux nuits dans une noble et imposante bâtisse ladakhi. La transformation en maison d’hôtes est exemplaire : les meilleurs experts et artisans y ont participé. La demeure de 1200 m² compte une trentaine de pièces dont deux temples bouddhistes. Elle est cernée de terrasses extérieures et d'un verger de cinq hectares planté d’abricotiers, de pommiers et de noyers. Les repas sont servis soit en extérieur, pleine vue sur les montagnes, soit dans l’ancienne cuisine d’hiver reconvertie en salle à manger traditionnelle. La cuisine est simple et inspirée de spécialités de la région ; les fruits et légumes bio sont issus des potagers du village. Dehors, une étable garde yaks, vaches, dzos... Un refuge idéal pour une acclimatation en douceur.
Au programme - Journée au fil des monastères en privé. Le nom du gompa, Likir – "le cercle de l'esprit des eaux" –, s'explique par sa position sur un piton rocheux, tendu entre deux rivières. Il abrite une école dirigée par le frère cadet du Dalaï Lama et les murs résonnent des textes tibétains entonnés pour être mémorisés. L'impressionnante statue de Bouddha – huit mètres – est immanquable, de même que la collection de manuscrits et thankas anciens que renferme le musée. Également fondé au XIe siècle (mais rénové en partie au XVIe), le monastère d'Alchi se distingue par sa situation en basses terres. Il renferme quelques-unes des plus anciennes peintures murales du Ladakh, œuvres des artistes du Cachemire de l'époque. La journée s'achève sur les hauteurs, au monastère de Lamayuru. Perché à 3500m d'altitude, l'édifice est considéré comme le plus ancien monastère bouddhiste du Ladakh. Malgré des conditions extrêmes en hiver, quelque deux cents moines y vivent à l'année.
En option - Confection de momos (ravioles tibétaines) ; atelier de cuillères traditionnelles.
C'est l'heure du grand départ. D'abord, faire de ses adieux à Nimmu. Puis, mettre le cap sur Thiksey. Le GPS n'est pas utile ou si peu : il suffit de suivre le cours de l'Indus. Impossible de passer si près sans inspecter le monastère de Thiksey, en privé. Fondé il y a plus de six siècles, c'est le plus vaste gompa Gelupa (bonnet jaune) du Ladakh. Il héberge des moines mais aussi la version féminine (des moniales), est renommé pour ses peintures et autorise un panorama exceptionnel sur la vallée.
Poursuite de la route pour gagner le Changtang, région à cheval entre le Ladakh indien et le Tibet chinois, où l'altitude varie entre 4000 et 5000 mètres. L'objectif du jour est d'atteindre Tso Kar via le Taglang La. La route permet d'adopter des points de vue grandioses sur les sommets himalayens. Depuis le col, situé à 5360m, vous dégringolez vers les plaines dont les rives sont blanchies par les dépôts de sel du lac (dont le nom, Tso Kar, signifie "lac blanc" en ladakhi). Personnages de ce décor insolite, une faune qui l'est tout autant, entre ânes à l'état sauvage et grues à cou noir, oiseaux sacrés du bouddhisme – un bon présage. Dans l’après-midi, arrivée à destination, à 4530m d'altitude. Rencontre avec votre tribu d'adoption, les Changpas, et installation pour votre première nuit en campement. Celui-ci aligne plusieurs unités inspirées des rebos Changpa. De forme octogonale, cet habitat traditionnel est enveloppé de couvertures sombres en laine de yak permettant de mettre le refuge à l'abri du vent et du froid. Le camp est aménagé avec un certain souci de coquetterie – pour nomadiser dans un cadre grandiose, on n'en apprécie pas moins un chez soi soigné. Résultat : on a ses aises dans ce contexte exceptionnel.
Cette journée est l'occasion de se familiariser avec la tribu qui vous accueille. Jadis originaires du Tibet, les Changpas ont migré il y a plusieurs siècles vers les hautes montagnes ladakhi pour les besoins de leurs troupeaux. Ces derniers comprennent parfois des moutons ou des yaks mais surtout des chèvres Pashmînâ dont la laine aussi fine que chaude sert à fabriquer les précieuses étoles éponymes. Vous vous glissez dans le quotidien des nomades, prenant part aux différentes activités qui rythment la journée : départ en alpage, traite des chèvres, fabrication de fromage ou de beurre, filage de laine pashmînâ… Alors que le soleil se rapproche doucement de la terre, des petits points se dessinent à l'horizon. Progressivement, le mirage s'avance et prend forme : il s'agit des membres partis à la journée avec les troupeaux. À leur retour, une grande agitation secoue le campement. Ce dernier est composé des tentes "nuit" mais également d'un bloc sanitaire qui prend la forme d'une tente avec toilettes et d'une autre avec les douches (et ce qu'il faut d'eau chaude). Plus loin, la tente mess est le cœur de l'installation : on s'y croise, on y échange. Et on y mange, lorsque la météo ne permet pas de le faire en extérieur. Sinon, on a ici coutume de vivre au grand air.
Exit Tso Kar, bonjour Puga – devenir nomade, c'est être en mouvement. Cent-vingt kilomètres de route se dressent devant vous. Il vous faudra environ quatre heures pour les parcourir. Le trajet est une pièce au cours de laquelle se succèdent les décors. Tous se démarquent par leur caractère semble-t-il éternel : infinité de pierre, infinité de sable puis, soudain, une infinité d'eau et un sol d'un vert impertinent, copieusement abreuvé. Quelques yaks, une poignée de chèvres, parfois des chevaux en liberté, la robe luisante et la crinière lâche. Puis, de nouveau, rien pendant des kilomètres, avant de voir surgir de petites pièces de tissu colorées qui s'agitent au passage des cols et au croisement des chemins. Le vent caresse les drapeaux, recueillant les prières qu'il transporte ensuite jusqu'aux dieux. À moindre vitesse mais tout aussi sûrement, vous atteignez la région de Puga. Installation pour une nouvelle nuit en campement, loin, très loin des distractions du monde moderne.
Au programme - Excursion au lac de Tso Moriri. Si Tso Kar est le "lac salé", Tso Moriri est le "lac de montagne". Départ à la journée pour rejoindre cette autre oasis qui sertit le plateau de haute altitude du Rupshu. Pour l'atteindre, passage par le col de Namshang La (4800m) puis redescente vers l'immensité d'un bleu profond (4520m). Avec 26 kilomètres de long et entre 3 à 5 kilomètres de large, c'est le plus vaste lac d'haute altitude de la région transhimalayenne indienne. Enserré de montagnes dramatiques, le site semble sous surveillance étroite. Sur la rive nord, un unique village : Korzok. Quartier général des nomades, point de départ des treks en haute altitude, il abrite un petit monastère affilié à la lignée Drukpa, fondé par Kunga Lodro Ningpo il y a trois siècles. Chaque année, le site religieux s'anime à l'occasion d'un de ces festivals qui font la renommée des monastères bouddhiques ladakhi, celui de Korzok se plaçant un cran au-dessus car égayé par la participation de dizaines de Changpas enthousiastes. En fin de journée, retour au campement pour profiter d'une nouvelle soirée chaleureuse sous la voûte étoilée.
Dernier réveil sous la toile réconfortante de la tente. Le temps de faire le tour du camp, de prendre un petit déjeuner désormais familier et vient l'heure de faire ses adieux à un peuple auquel on s'est véritablement attaché. Les chèvres béguètent, bêlent, chevrotent comme pour s'opposer au départ. De retour sur la route, le cap est mis sur Leh. Pour enjamber l'Indus, passage sur le Mahe Bridge, pont stratégique reliant le lac Tso Moriri à la capitale ladakhi.
Installation pour deux nuits dans une adresse moderne du centre-ville de Leh. Les dimensions impressionnantes de l'édifice sont adoucies par les extérieurs en briques de terre compressées – on croirait presque à une montagne prête à se fondre dans le panorama alentour. Les volumes s'organisent autour d'un atrium vertigineux arrosé d'un puits de lumière. Déployées autour de ces espaces, les chambres présentent un ameublement minimaliste et des nuances terreuses. On se félicite de l'existence d'un restaurant sur place complété par un café intérieur/extérieur. Quant au personnel, il est aux petits soins. Si la vie nomade avait ses attraits, les services hôteliers ont aussi leurs avantages.
Au programme - Leh en privé. Capitale du Ladakh perchée à 3500 mètres d'altitude, Leh fut autrefois une étape importante sur la route de la soie. Après une session dégustation de mets locaux, direction le marché de la ville pour retracer, au travers de nombreuses photographies, l'histoire de la cité. Puis, visite du gompa Soma, siège de l'Association bouddhiste locale. Là, Bouddha couronné et Padmasambhava attendent de vous recevoir. On ne s'arrache à leur contemplation que pour mieux repartir sillonner les ruelles historiques, finissant inévitablement au marché.
Également prévu - Les secrets du pashmînâ en privé. Il fallait bien cette visite pour mettre un point final à votre échappée nomade ! Le pashmînâ, partie la plus noble du cachemire, est issue du duvet des chèvres Changra élevées en haute altitude – ça, vous le savez déjà. Il s'agit désormais de voir comment on passe de la tonte au produit fini. Le rendez-vous se tient dans un paisible village des environs de Leh. Dans l'atelier, les femmes ladakhi s'affairent à fabriquer des pashmînâ de toute beauté à la main. Cerise sur le gâteau : vous ne repartez pas les mains vides.
En option - Rencontre avec une restauratrice d'art.
Départ pour la vallée de la Nubra. La route en lacets qui serpente dans un paysage minéral pour atteindre le Kardung La (5369 m) compte parmi les plus hautes routes carrossables du monde. On rejoint ensuite la vallée en contrebas, dans un décor de plus en plus verdoyant, collectionnant les villages isolés jusqu’à apercevoir la jolie rivière Shyok. Installation pour deux nuits à Tegar, sur la rive est de la Nubra River. Les bâtiments sont de style himalayen ; ils croisent motifs et savoir-faire traditionnels avec les techniques d'aujourd'hui (électricité solaire par exemple). En tout cas, l'intérieur est clair, bien articulé, d'une simple élégance. Les chambres sont parfaitement équipées et confortables, ouvertes sur l'extérieur par de larges baies. En cuisine, on prépare des plats savoureux et reconstituants dont les ingrédients proviennent en grande partie du jardin bio de la propriété.
Au programme - Tegar en privé. Un guide local vous initie à l'histoire de sa cité. Hameau de quelque 900 habitants, Tegar (aussi appelé Kyagar) fut longtemps un point d'arrêt pour les caravanes qui parcouraient la route de la soie entre la Chine et l'Asie Centrale. Village bouddhiste, ses habitants suivent deux courants religieux liés à deux monastères de la région, l'un à 3 km, Samtsaling (ordre Gelukpa ou "bonnets jaunes") et l'autre plus loin, à Diskit – le monastère le plus ancien et le plus grand.
À votre agenda - Marche autour du lac Yarab Tso. Ne vous laissez pas tromper par sa taille négligeable : le plan d'eau ne l'est aucunement. Situé à une quinzaine de kilomètres du monastère de Diskit, Yarab Tso est un lac sacré. On n'y campe pas et on s'y baigne encore moins. Les locaux vous conteront volontiers les légendes qui ont cours à son sujet. Il est question de moines, d'un monastère perdu que l'on peut voir, selon l'angle et les conditions météo, se réfléchir dans l'eau, et d'une alimentation via une source souterraine. Le long de la rive s'alignent les stupas confectionnées par les visiteurs à base de petits cailloux. Un véhicule privé vous récupère à l'hôtel pour vous déposer au plus près ; le reste du chemin devra s'accomplir à pied.
Également prévu - Non loin de là, le monastère de Diskit, fondé au XIVe siècle, est donc le plus ancien de la vallée. La peinture murale des Quatre Rois célestes témoigne de la longue histoire du sanctuaire et de l’influence du bouddhisme chinois sur celui de l’Himalaya. L’imposante statue de Maitreya, 32 mètres de haut, installée un peu en contrebas, marque l’engagement contemporain des moines. Bénie en 2010 par le Dalaï Lama, elle a pour but de protéger le village, de prévenir une guerre avec le Pakistan et de promouvoir la paix mondiale – tout un programme.
En option - Déjeuner dans les dunes.
Transfert privé vers Leh. L'occasion d'emprunter à nouveau le col du Kardung La et les virages étourdissants qui l'encadrent. Installation pour la nuit dans la partie orientale de Leh. Dans la conception de l'établissement, matériaux et techniques traditionnels ont été utilisés et respectés scrupuleusement. Les meilleurs artisans ont contribué à l'édification, à l'installation et à la décoration. Le résultat est un concentré de culture himalayenne version Ladakh. Le bois, qui donne de la chaleur à l'intérieur, est souvent sculpté. Les chambres sont bien équipées et confortables ; chaque unité a son propre living. Le restaurant maison fait une cuisine végétarienne créative, qu'il sert dans une jolie salle à manger ou dans le jardin. Le spa ? Il met en œuvre les savoir-faire accumulés par des générations de praticiens, potentialisés par les conceptions modernes.
Transfert privé à l’aéroport de Leh et vol pour Delhi. À l'arrivée, nouveau transfert privé et installation dans votre hôtel de l'arrivée, dans lequel une chambre est mise à disposition avant votre décollage, prévu dans la nuit. Vous profitez de la chambre, de la piscine, éventuellement d'un massage. En soirée, transfert privé vers le terminal et vol international retour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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