Idée voyage 100% personnalisable
Émirats Arabes Unis - Dubaï
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
À l'arrivée, transfert privé et installation pour trois nuits au cœur d'Al Fahidi, jadis appelé Al Bastakiya : c'est "old Dubaï", celui du vieux souk et du marché de l'or. Les deux demeures qui vous accueillent sont posées face au Creek, fleuve nourricier, haut lieu de la pêche aux perles dont le commerce a fondé l'économie locale de l'époque. Des abras, ces embarcations traditionnelles en bois, filent tranquillement sur les eaux. Mariage de briques et d'argile, les bâtisses qui composent l'adresse hébergeaient en leur temps un illustre dignitaire et un important commerçant. Elles accueillent désormais une vingtaine de chambres qui répondent à une esthétique traditionnelle (bois de mangrove, feuilles de palmier et niches encastrées dans les murs) et ouvrent sur le golfe. Soucieux de préserver son environnement, l'hôtel propose de vieux vélos pour visiter la ville et refuse le recours à la climatisation, préférant la méthode ancestrale (et ingénieuse) des rideaux de jute. Pour le panorama le plus renversant, direction le toit-terrasse. C'est ici que sont servis les repas concoctés par l'établissement, particulièrement réputé pour sa cuisine. On n'a pas commencé le food tour que, déjà, la gastronomie dubaïote émerveille. Au moyen de saveurs traditionnelles émiraties – le poisson fraîchement pêché est un must ! – le restaurant séduit toutes les papilles. Et met en appétit pour le reste de l'aventure.
Au programme - Le Dubaï perse dans les pas d'un local francophone. C'est une vieille histoire que vous conte votre accompagnateur du jour. Celle de peuples nomades qui, maniant les vents comme personne, décident de former une nation marchande et s'établissent, pour faciliter le commerce, sur les deux rives du golfe : côté Émirats et côté Iran. Des cités qui furent alors établies, il reste peu de traces : le site archéologiques de Jumeirah, formé à l'ère des Abbassides, est l'une d'elles. C'est donc logiquement qu'on y débute le parcours. L'échange se poursuit autour d'un café traditionnel (gahwa) dans une maison de thé qui l'est tout autant, à l'ombre d'un arbre centenaire. Dans les assiettes, du balaleet (vermicelles adoucies au moyen de sucre, cardamone, eau de rose et safran, accompagnées d'omelette), de la mélasse de dattes, bajella (fèves), dango (pois chiches). Le tout accompagné de pains traditionnels (khameer, chebab et tanoor). De la terrasse, on aperçoit les célèbres barjeel, ces tours de vent chères aux Iraniens. Le savoir-faire du voisin imprègne aussi l'architecture de la mosquée Ali Ibn Ali Talib, tout en nuances de (faïence) bleu. Plus loin, les tapis aux motifs raffinés exposés dans les commerces transportent jusqu'en Afghanistan à une époque où certaines de ses régions constituaient, avec l'Iran, une contrée que l'on ne rencontre guère plus que dans les livres : le Khorassan.
Déjà prévue - Votre réservation de table pour le dîner. Cap sur le quartier de Deira, succession de passages étroits débouchant sur des souks animés. C'est ici que, en bord de Creek, se perpétue le mieux la tradition d’hospitalité persane. Le restaurant où vous avez rendez-vous appartient à la même famille depuis trois générations. Et si les têtes couronnées fréquentent moins l'adresse qu'à l'époque, le chef vous accueille comme son père et son grand-père avant lui : comme des rois. Au menu, Kashk-e bademdjan (aubergines et petit lait fermenté), tahchin (gâteau de riz iranien au safran et au poulet), Kofta E-Tabrizi (boulettes de bœuf fourrées avec une farce de pruneaux et de noix) et assortiment de viandes marinées cuites lentement. Si vous avez encore un peu de place pour le dessert, tester la bastani, glace traditionnelle au safran et à la pistache, est impératif.
À voir, à faire - Le "croissant fertile" désigne, en Orient, les zones bénies par les pluies recouvrant (notamment) les actuels Palestine, Israël, Syrie, Liban ainsi qu'une partie de l'Irak. Depuis des siècles, les populations issues de ces pays sont amenées à transiter par Dubaï, autrefois en chemin pour les Indes, désormais en quête d'un refuge dans un contexte géopolitique délicat. Pour mieux comprendre ce dernier, vous pouvez rejoindre le Fikker Insitute, think tank et bibliothèque d'un autre genre. À midi, téléportation, le temps d'un repas, en Palestine. Le restaurant qui vous accueille s'approvisionne directement sur sa terre natale. Au menu : rouleaux de musakhan (poulet avec oignons caramélisés et sumac), makdous (aubergines farcies fermentées) et halloumi cuit au four. Quant à l'huile d'olive, on la retrouve ici à toutes les… sauces. L'après-midi signe la rencontre avec les entrepreneurs (et entrepreneuses) qui, originaires du croissant, ont vu leur talent éclore sous le soleil local. Le travail d'orfèvrerie de la créatrice libano-dubaïote Nadine Kanso est désormais réputé à l'international. Et que dire de la petite entreprise humanitaire de bougies fondée par Naila Rahim, irako-dubaïote ? Parce que vous êtes attendus au restaurant, il faudra patienter pour la suite : une séance dans le plus ancien cinéma indépendant du golfe, le Cinema Akil.
Prévue en soirée - Réservation dans un étoilé. Né de parents syriens mais élevé sur place, le (jeune) chef est un Dubai Kid autoproclamé. Autodidacte, il n'est enfermé dans aucun carcan : puisant ses inspirations dans les contrées où il a ses origines, mais aussi au Japon, dont il adopte les ingrédients et les techniques, c'est un véritable vent de fraîcheur qui souffle ici en cuisine. Peut-on se hasarder à parler du menu, qui change et se revendique "surprise" ? On s'y risque avec un plat pour donner l'idée : foie gras et ganache aux dattes, safran et chutney d'ananas, huile de piment du sichuan. Alléchant ! Vous préférez dîner "street" plutôt qu'étoilé ? Allez vous régaler de masqouf, ce plat traditionnel irakien à base de poisson frais cuit au feu de bois de dattier, dans l'un des restos de notre carnet (bien rempli) d'adresses.
Votre rendez-vous du jour - Le Dubaï indien dans les pas d'un local francophone. Nouvelle journée, nouveau pays, nouvelle leçon d'histoire : il y a des siècles de cela, les richesses du sous-continent indien attirent les marins arabes, contribuant à créer la première mondialisation. À l'époque du Raj britannique, les liens entre les deux (trois) nations dépassent les nécessités commerciales et le golfe est aspiré dans la sphère d'influence anglo-indienne. La preuve au fil de cette journée dont le programme n'est pas prédéfini mais improvisé en fonction de vos envies et du calendrier local. Elle commencera peut-être par un petit déjeuner en bord de mer dans une adresse indienne comme on en fait peu. Afin d'être sûr de ne rien manquer, le petit déjeuner prend la forme d'un buffet : masala uthappam, masala poha, masala upma. Puis, session shopping. Tapis indiens, parfums indiens : votre guide du jour connaît les meilleures adresses. Pour le déjeuner, vous vous glissez dans les allées hindous de la vieille ville en quête des mets indiens mais aussi pakistanais et bengalais. Dans l'après-midi, prendre le temps d'un retraite ayurvédique est une option… tant que vous êtes à l'heure pour le dîner ! Pour celui-ci, il y a – encore – l'embarras du choix, côté street food ou étoilé. En chemin pour la table choisie, ne manquez pas, du côté d'Al Satwa, les membres exaltés de la diaspora du sous-continent, absorbés par une partie de cricket, véritable sport national.
Transfert privé de votre précédent hôtel vers votre nouvelle adresse, blottie dans le quartier de Zabeel. Installation pour deux nuits dans un hôtel tout simplement spectaculaire comme seule Dubaï sait en produire. Il y a d'abord l'architecture du bâtiment : impressionnante. Deux gratte-ciels reliés par une troisième tour horizontale défiant les lois de la gravité à 100 mètres au-dessus du sol. Ensuite, les intérieurs, tout aussi remarquables. Si la palette fait plutôt dans le sombre, la lumière est telle que toutes les nuances de gris, bruns chauds et mauves apparaissent d'un raffinement extrême. L'offre culinaire atteint des sommets : un boulevard futuriste flottant accueille presque tous les concepts culinaires de l'hôtel. Quant au pôle bien-être, il est réparti sur trois étages, dedans/dehors – là aussi, le souci du détail est omniprésent. Et les vues enfin : où que l'on se trouve, le regard se porte loin, sur la skyline, les palais, Burj Khalifa… Saisissant.
À voir, à faire - Si les jours précédents étaient consacrés à remonter le fil de l'héritage dubaïote, l'heure est venue de se pencher sur ce qu'elle est désormais : une ville-monde aussi futuriste qu'excentrique dans laquelle l'Occident occupe une place de choix. Ce, sans oublier de picorer, çà et là, naturellement. Les gratte-ciels portant avec eux l'image même de la métropole, pourquoi ne pas commencer par un petit déjeuner dans les étages du Burj Khalifa, plus haute tour du monde ? Ayant dépassé le centième étage, vous pensez être au sommet : vous en êtes loin. Une promenade digestive dans le Business District voisin permet d'entrer en contact avec la scène artistique contemporaine locale. L'émirati Mattar Bin Lahej en est l'un des ambassadeurs. L'immense anneau d'acier et de verre avec inscriptions en arabe du musée du Futur, c'est lui. Sa galerie regorge d'autres curiosités du même ordre. Pour le déjeuner, on reste dans l'air du temps avec un restaurant vegan où bien-être et respect de l'environnement sont les maîtres mots. Frais et de saison, les produits sont cuisinés selon des méthodes à même d'assurer une maximisation du goût. Quant aux restes, ils sont récupérés au bénéfice des plus démunis. Après le déjeuner, plongée dans la mode locale. L'occasion de constater que même l'abaya, la robe traditionnelle des femmes, sait se réinventer. Maisoon Al Saleh, artiste de street art et célébrité locale, porte elle aussi le vêtement. C'est à City Walk que l'on peut admirer son travail et celui d'autres artistes s'étant donnés pour mission de colorer et dynamiser la ville. Au couchant, on assure ses arrières avec un classique : un rooftop. Celui-ci permet de contempler le plus haut gratte-ciel du monde à la golden hour en sirotant un cocktail aux notes délicates. Parfait pour se préparer au dîner.
Le programme, pour le dîner - The Link, prouesse architecturale suspendue à 100 mètres de hauteur entre deux skyscrapers dubaïote. Ce pont aérien, le plus long porte-à-faux au monde, concentre une collection de restaurants dirigés par des chefs de renommée internationale, offrant une expérience gastronomique exceptionnelle avec vue panoramique sur la ville. Les enseignes étant – logiquement – prises d'assaut, nous nous chargeons de votre réservation de table.
Transfert privé vers l'aéroport et vol international retour direct.
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