Idée voyage 100% personnalisable
Corée du Sud - Séoul - Gyeongju - Busan - Japon - Tsushima - Fukuoka - Kyoto - Tokyo
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
À l'arrivée, trajet direct en transports en commun pour le quartier étudiant de Hongdae. Installation pour trois nuits à l'abri de l'agitation ambiante, électrique et enivrante – le temps d'un repos bien mérité seulement. Les lumières de la ville se reflètent dans le verre qui orne la tour : une opportunité pour les visiteurs de bénéficier de vues mirifiques sur la capitale, que ce soit depuis le confort moelleux du rooftop bar, la fraîcheur de la piscine à débordement ou l'intimité des chambres. Ces dernières sont minimalistes mais contemporaines et douillettes. Au 21e étage, le restaurant de l'hôtel concocte une cuisine italienne bienvenue pour entrer en douceur dans le paysage parfois audacieux de la gastronomie asiatique. Possibilité d'éliminer – ou non – tout excès au centre de remise en forme de l'établissement. Pour vos explorations, une station de métro (Hongik University) à deux pas et la carte T-Money en poche, véritable sésame vous permettant d'emprunter les transports en commun et de régler certains achats.
Successivement appelée Hanyang, Hanseong et Kyeongseong avant de retrouver sa dénomination de Séoul à la libération en 1945, la ville – capitale du pays depuis plus de 600 ans – a traversé les difficultés et les âges. Une histoire riche qui se lit dans ses ruelles tantôt bordées de traditionnels hanoks aux toits incurvés, tantôt ponctuées de gratte-ciel néo-futuristes.
Au programme - Séoul dans les pas d’un local. Avec près de 10 millions d’habitants, la cité a de quoi intimider. Pour faciliter la mise en contact, vous rejoignez un francophone qui, tombé sous le charme du pays, a décidé de poser ses valises dans la capitale. Découverte des derniers lieux à la mode, visite à contre-courant des sites incontournables et plongée dans la culture coréenne : le programme n'est pas défini à l'avance mais improvisé en fonction des envies de chacun et de l’agenda du moment. L’occasion de poser ces questions qui vous brûlent les lèvres sur votre pays-hôte et d’accumuler des conseils pour la suite du voyage.
À voir, à faire - Aller à la rencontre de la jeunesse coréenne dans votre quartier-hôte de Hongdae ; arpenter les galeries du quartier d’Insa-dong ; admirer la ville depuis le sommet de la N Seoul Tower ; suivre les fumets des barbecues de rue jusqu’au Gwangjang Market ; s’initier à l’art coréen dans les différents musées de la ville ; s’empêcher de fredonner une rengaine bien connue à Gangnam.
En option - Initiation à la street food coréenne.
Embarquement pour 2h à bord du Korean Train Express (KTX) pour rejoindre, sur la côte sud-est du pays, la cité de Gyeongju. Capitale de l’ancien royaume de Silla (qui régna sur le pays pendant près d’un millénaire), Gyeongju regorge de vestiges de cette lointaine époque où la Corée fut pour la première fois unifiée. Au temple de Bulguksa et à la grotte Seokguram, sereins et solennels, l’attachement de l’ancienne dynastie au bouddhisme est encore prégnant. Le palace Donggung, résidence secondaire de la famille royale, flanqué de l’étang de Wolji, laisse entrapercevoir ce qu’a pu être, en son temps, le quotidien de l’élite. Pour accompagner celle-ci jusqu’à sa dernière demeure, direction la vallée. C’est ici que, sous la centaine de collines verdoyantes qui font le dos rond, les tombeaux des anciens rois sont dissimulés. Les trésors avec lesquels ils furent enfouis sont visibles au musée national.
Installation pour la nuit dans la partie historique de la ville, face aux tombes impériales. La palette de l'adresse renvoie aux couleurs de la terre ; bois et pierre s'y associent astucieusement. La façade ne dit rien de l'expérience qui attend à l'intérieur. Au nombre de sept seulement, les chambres révèlent de beaux espaces lumineux équipés d'une literie traditionnelle (futon) et d'un petit recoin salon sur tatami où l'on se plie gaiement au rituel du thé. L'espace phare du particulier demeure toutefois la salle de bains, garnie d'un vaste bassin pour un instant suspendu dans la vapeur. Elle concurrence, pour les chambres qui en sont dotées, la vue sur les tumulus impériaux. Pour ne rien gâcher, le petit déjeuner est agréable et le personnel délicieux (à moins que ce ne soit l'inverse).
Nouvelle journée, nouveau train coréen. Celui-ci vous escorte vers Busan en continuant de descendre la côte. Installation pour deux nuits dans le quartier de Nampo-dong, le centre historique de Busan. L'emplacement est de qualité. D'abord, non loin du port, permettant une vue privilégiée depuis certaines chambres. Ensuite, à quelques pas d'une station de métro (la ligne 1 qui plus est, qui file directement vers la gare et autres sites d'intérêt). Enfin, tout à côté des marchés – dont celui particulièrement réputé de Jagalchi. D'ailleurs, les hôtes ont coutume de filer au petit matin profiter de l'animation des markets. L'adresse ne se limite toutefois pas à son emplacement. Un personnel à pied d'œuvre officie dans l'entrée. Il prend le temps d'exposer ses recommandations, à écouter attentivement. Enfin, la chambre. De bonne taille, confortable, bien équipée. La vôtre jouit d'un balcon et d'une vue mer. Et que dire de la salle de bains, avec sa grande baignoire ?
Deuxième ville d’importance du pays, Busan a bien plus à offrir que son image lisse de station balnéaire – n’en déplaise aux longues étendues dorées de la plage de Haeundae. Accroché à la falaise, le village de Gamcheon s’est métamorphosé au cours des dernières années : retraite pour quelques réfugiés de la guerre avant de se transformer lentement en bidonville, le quartier a, à l’initiative de la ville, été investi par les artistes locaux pour devenir un centre culturel aux couleurs vives. Les esthètes poursuivront leur éducation à l’art coréen au sein des différents musées de la ville.
Déjà prévue - Soirée pique-nique sur la plage. Déployée sur plus d'un kilomètre, la plage de Gwangalli s'épanouit à l'ouest de la mythique Haeundae. À l'instar de sa voisine, elle est dotée d'un beau sable blanc – un attribut qui la rend particulièrement populaire chez les jeunes gens. Ceux-ci l'investissent souvent à la nuit tombée. Alors que le jour décline, les lumières du pont suspendu de Gwangan se reflètent sur la mer. En compagnie d'un local, vous rejoignez les Busaniens sur la plage et profitez du paysage ainsi que de l'ambiance autour d'un pique-nique (version coréenne).
Traversée en bateau pour l'île de Tsushima, à mi-chemin entre la Corée du Sud et le Japon. Installation pour deux nuits sur la rue principale, à cinq minutes à pied du port. Le bâtiment à deux niveaux a été édifié en 1868, dans la première année de l'ère Meiji. Cent cinquante ans plus tard, il a été rénové par un architecte japonais. Celui-ci a tenu à préserver la façade, comme un totem de l'époque. Le rez-de-chaussée a été totalement vidé pour créer un grand espace ouvert. Un ravissant café s'y est installé – on y savoure un breuvage de qualité. À l'étage, deux chambres (seulement) aux murs d'une blancheur immaculée ambitionnent de faire cohabiter Japon et Corée du Sud. Les futons y côtoient le traditionnel kotatsu. Le couloir d'origine a été remplacé par un atrium et chacun des espaces privés est desservi par un escalier. La première chambre surplombe l'avenue principale et possède un bain de belle envergure. La seconde ouvre sur le jardin japonais. On s'y sent bien.
Baignant dans les eaux entre la Corée du Sud et le Japon, Tsushima a, de tous temps, été visitée par les habitants des deux pays. Depuis le VIe siècle, cette terre de 700 km² est toutefois officiellement japonaise – abstraction faite de quelques périodes tourmentées dont l'invasion, dans la seconde moitié du XIIIe siècle, du territoire par les troupes coréennes de l'armée mongole. Pour autant, l'île a toujours entretenu des liens – a minima commerciaux – étroits avec le voisin coréen. Durant la période de sakoku (fermeture du Japon entre 1650 et 1842), Tsushima constitue l'unique site d'échanges avec la Corée du Sud. Vous l'aurez compris : son histoire est riche (et encore, la présence des wako, ces pirates japonais, reste encore à aborder). Bercée par les influences des deux nations, l'île promet un séjour intrigant, entre nature et culture, de part et d'autre de la baie d'Aso.
À ne pas manquer - Grimper au sommet des montagnes du nord de l'île pour apercevoir, par temps clair, les sommets de Corée du Sud ; mettre à profit la voiture de location pour inspecter les diverses criques qui jalonnent le territoire.
Embarquement à bord du ferry. En 2h15 seulement, le navire fend les eaux pour rejoindre le Japon "continental". La côte de Kyushu apparaît bientôt et, avec elle, les champs de fleurs du parc de Nokonoshima, jusqu'à finalement atteindre Fukuoka. Les plaines innervées de cours d’eau de la côte abritaient autrefois deux cités : à l’ouest du fleuve Naka-gawa se dessinait Hakata, populaire et sans âge, tandis qu’à l’est, le clan Kuroda fit édifier une nouvelle ville, féodale, organisée autour d’un château. Ce n’est qu’en 1889, à l’époque de l’ère Meiji, que les deux cités fusionnent. Riche de cet héritage, la capitale de la préfecture concentre aujourd'hui de nombreux sites d’intérêt. Si, du château, il ne reste que les remparts, le parc Maizuru qui l'enveloppe, avec ses cerisiers et ses pruniers en fleurs, justifie une visite en soi. Tout à côté, le parc Ôhori fait office de poumon vert avec une belle promenade qui s’enroule autour du lac. Autre symbole de la ville, le temple Kushida séduit les visiteurs en quête d'architecture vernaculaire, entre édifices de bois et torii superbement alignés. Le temple de Tôchô-ji, plus loin, parfait le tableau : les cinq niveaux carmin de sa pagode s’élèvent vers le ciel tandis que, au second étage du sanctuaire, le plus grand Bouddha en bois du Japon regarde devant lui, imperturbable.
Installation pour la nuit en plein cœur de la ville, côté district de Tenjin. Le bâtiment toise les voisins de sa vingtaine d'étages. Lové aux derniers niveaux, l'hôtel assure, avec une quarantaine de chambres seulement, une atmosphère relativement intime – une bonne surprise. On profite de vues renversantes sur la cité, en particulier à la nuit tombée, depuis les chambres ainsi que depuis le restaurant. Côtoyant la cuisine ouverte, plusieurs espaces ont été aménagés pour assurer une expérience dînatoire relativement privée. L'adresse renferme également un spa avec sauna et un patio intérieur végétalisé.
Trajet pour Kyoto à bord du Shinkansen, le TGV-star japonais. Avec ses milliers de temples bouddhistes et ses centaines de sanctuaires shintoïstes, la cité est la gardienne vénérable des traditions millénaires de l’archipel. Et les Kyotoïtes les perpétuent admirablement dans les jardins, au travers de la cérémonie du thé, en cuisine ou via l'omotenashi (l'hospitalité à la japonaise). Il règne dans la ville et dans les bosquets de bambous et forêts qui l’entourent une atmosphère sereine. Il n’y a qu’à se perdre dans les allées du jardin minéral du temple Ryôan-ji ou le long de la rivière Kamo pour le constater.
À l’arrivée, installation pour trois nuits dans le quartier de Nakagyo, central et paisible. Votre adresse n’a pas ménagé ses efforts pour se fondre dans l’environnement traditionnel de la ville : dès l’extérieur, on retrouve les codes architecturaux des machiya (maisons de ville) avec des fenêtres mushiko-mado qui intègrent aux murs plâtrés des motifs de claire-voie. À l’intérieur, un petit tsubo-niwa (jardin) enveloppé de verre met en scène quelques éléments de végétation sur un sol serti de pierres. Dans les étages, des chambres claires et aérées s’accompagnent d’une literie confortable, garantie d’un sommeil régénérateur.
Capitale du Japon et résidence de l’empereur de 794 à 1868, Kyoto aligne un paysage piqué de milliers de sites historiques : temples et sanctuaires, pagodes et ponts de bois, ruelles pavées et maisons de ville traditionnelles. Une richesse qui permit à la ville, en 1945, d’échapper in extremis au parachutage d’une bombe atomique, les décideurs américains s’accordant sur le fait que la perte du patrimoine de Kyoto aurait été un désastre, non seulement pour le Japon, mais pour l’humanité tout entière. La cité est une scène ombrée d’arbres en fleurs au cœur de laquelle évoluent des protagonistes bien vivants : ici, une geisha montée sur des geta, la traîne de son kimono glissant sur le pavé, de l’oshiroi (poudre) délicatement appliqué sur la nuque ; là, un moine au crâne luisant drapé dans un tissu carmin.
À voir, à faire - Admirer le reflet du Pavillon d’or dans le Kyoko-chi ("bassin-miroir") ; déambuler sous les mille toriis rouges du sanctuaire Fushimi Inari Taisha ; adopter un autre point de vue sur la ville depuis les hauteurs du temple de Kiyomizu-dera ; s'octroyer une échappée nature dans la bambouseraie d’Arashiyama ; jouer des coudes au marché alimentaire de Nishiki ; contempler la perfection des alignements de graviers au cœur d’un jardin japonais.
En option - Cours de cuisine traditionnelle ; Kyoto à vélo.
Nouveau trajet en bullet train pour rallier Tokyo depuis Kyoto – une poussée dans le temps autant que dans l’espace. Installation pour trois nuits à l'ouest, dans le quartier fort populaire de Shinjuku. Si la vie (diurne et nocturne) s'y écoule avec la même intensité, l’hôtel occupe, au calme, une vingtaine des étages supérieurs d’une tour contemporaine. Au programme : déco urbaine minimaliste avec les touches Japon caractéristiques. Confort et plateau technique sont de premier ordre. Quant au service, il est aux petits soins et d’une imperturbable discrétion. Les restaurants de la maison illustrent bien son esprit cosmopolite : français, japonais, chinois (et même New York style Chinese…). Une salle de gym sans faiblesse permet d’entretenir le rythme cardiaque qu’il faut pour vivre à Tokyo.
De petit village de pêcheurs du bord de mer à capitale de la troisième puissance économique mondiale, celle qui fut longtemps connue sous le nom d’Edo a parcouru un bien long chemin. Au XVe siècle, la cité devient la base militaire puis la seigneurie du shogun (général) Tokugawa, désireux de prendre ses distances avec Kyoto, la ville-impériale. Les samouraïs ont alors ravi le pouvoir politique à l’empereur depuis quelques siècles déjà. Au XIXe siècle, toutefois, le shogunat est renversé après avoir mis fin à la période de sakoku (fermeture du pays), mesure réprouvée par l’empereur et l’opinion publique. Débute alors l’ère de Meiji et, avec elle, la restauration des pouvoirs du monarque. En s’établissant à Edo, ce dernier confirme le statut de capitale de la cité alors renommée Tokyo, la "capitale de l’est", par opposition à Kyoto, la "ville-capitale".
Au programme - Tokyo dans les pas d'un local. Votre acolyte du jour, local et francophone, vous mène à travers la ville pour une balade informelle et sans itinéraire préconçu. Le rythme est le vôtre, rien n’est prévu à l’avance : on improvise en fonction des goûts de chacun et des envies du moment. Au fil du chemin, explications historiques et anecdotes fusent.
À voir, à faire - Se joindre à la foule au Shibuya Crossing ; s’époumoner à un match de sumo au Ryogoku Kokugikan ; prendre part à l’afterwork dans un izakaya ; s’imprégner de l’atmosphère du Senso-ji, plus ancien temple de la ville ; se familiariser avec l’usage du terme kawaii (mignon) à Harajuku ; goûter au takoyaki, morceau de poulpe enveloppé de pâte à crêpe.
Trajet en transports en commun – train, bus limousine : les options ne manquent pas – pour l'aéroport. Vol international retour direct.
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Chaque jour, nos spécialistes composent des expériences personnalisées selon le profil, les envies et le budget de chaque voyageur. Ces passionnés façonnent des expériences relayées sur place par un réseau local de concierges et de contacts privilégiés. Modulables à l’envie, ces voyages à la carte s’accompagnent d’une vaste gamme de services haut de gamme (lounges, assistance 24/7, carnet de voyage, appli, wifi nomade, réservation de tables…).
Faites créer votre voyage
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